Le 27 juin, le ministre David Dudi Amsalem a tweeté sur X, mettant en avant le travail acharné des employés dans l'économie israélienne. Il a noté : « Pendant la guerre actuelle contre l'Iran, j'ai tenu à visiter des entreprises gouvernementales et de défense. » Le ministre a souligné que les travailleurs étaient des héros de la croissance économique en période de guerre. Amsalem a personnellement visité des secteurs critiques, y compris l'EAPC, la Compagnie électrique israélienne et les Ports d'Israël. Malgré l'inquiétude sur le marché, l'indice TA-125 s'élevait à 2952 points le 26 juin, en baisse de 0,71 % par rapport à la session précédente, bien qu'il reste solide d'une année sur l'autre.
L'économie israélienne repose sur une infrastructure solide
Les tournées d'Amsalem révèlent un aspect de la guerre souvent oublié, la pression exercée sur les systèmes vitaux. Des réseaux électriques aux pipelines de gaz, ces institutions forment les veines de la stabilité nationale. En temps de guerre, ces infrastructures ne s'arrêtent pas. Au contraire, elles continuent de fonctionner, même sous la menace d'attaques par missiles et de tensions constantes. L'économie israélienne en temps de guerre dépend d'elles plus que jamais. La résilience de ces systèmes reflète non seulement la force de l'ingénierie, mais aussi la volonté humaine qui les soutient. Cela capture une vérité souvent négligée en dehors des frontières d'Israël.
L'esprit humain derrière le pouvoir et les ports
Ce qui a vraiment touché Amsalem lors de ses visites n'était pas seulement la technologie ou les protocoles de sécurité. C'étaient les gens. Des milliers de travailleurs se présentent chaque jour malgré le fait qu'ils savent que leurs quarts pourraient être interrompus par des sirènes ou pire. Ils travaillent sur les quais, dans les salles de contrôle et près des pipelines d'énergie. Ils continuent d'avancer. Son message pour eux était simple : « Israël vous remercie, vous embrasse et vous aime. » Cela peut sembler émotionnel, mais cela a du sens. L'économie israélienne en temps de guerre n'est pas seulement guidée par la stratégie ou la politique. Elle repose sur l'esprit humain, forgé sous pression, poli par le devoir et animé par un but.
Les marchés faiblissent brièvement, mais la confiance demeure
La légère baisse de 0,71 % de l'indice TA-125 le 26 juin montre une certaine prudence du marché. Mais cela doit être mis en contexte. Au cours du mois dernier, l'indice a augmenté de 9,55 %. Par rapport à l'année dernière, il est en hausse de plus de 50 %. Ce n'est pas un accident. Alors que les investisseurs réagissent aux gros titres et aux mises à jour militaires, ils prennent également en compte la foi à long terme dans la capacité d'Israël à fonctionner sous pression. L'économie israélienne en temps de guerre prouve sa résilience maintes et maintes fois. Derrière cette résilience se trouvent ces mêmes travailleurs, donnant aux investisseurs et aux citoyens des raisons de croire en la continuité au milieu du chaos.
L'économie israélienne boostée grâce au dévouement des travailleurs
Le message de Shabbat d'Amsalem se termine par chaleur et une bénédiction pour tout Israël. Cet esprit de soutien collectif compte. Il rappelle à la nation et au monde que même lorsque des missiles volent, les humains se tiennent droits. L'économie israélienne en temps de guerre n'est pas seulement des données ou des graphiques. C'est la vie. Ce sont les ingénieurs qui réparent les dégâts. Ce sont les conducteurs qui maintiennent les chaînes d'approvisionnement ouvertes. Ce sont des gens qui refusent d'être brisés. Le message d'Amsalem peut être bref, mais son impact est durable. La gratitude, après tout, est le carburant de l'âme et du système.
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Dudi Amsalem met en avant l'épine dorsale de l'économie israélienne en temps de guerre
Le 27 juin, le ministre David Dudi Amsalem a tweeté sur X, mettant en avant le travail acharné des employés dans l'économie israélienne. Il a noté : « Pendant la guerre actuelle contre l'Iran, j'ai tenu à visiter des entreprises gouvernementales et de défense. » Le ministre a souligné que les travailleurs étaient des héros de la croissance économique en période de guerre. Amsalem a personnellement visité des secteurs critiques, y compris l'EAPC, la Compagnie électrique israélienne et les Ports d'Israël. Malgré l'inquiétude sur le marché, l'indice TA-125 s'élevait à 2952 points le 26 juin, en baisse de 0,71 % par rapport à la session précédente, bien qu'il reste solide d'une année sur l'autre.
L'économie israélienne repose sur une infrastructure solide
Les tournées d'Amsalem révèlent un aspect de la guerre souvent oublié, la pression exercée sur les systèmes vitaux. Des réseaux électriques aux pipelines de gaz, ces institutions forment les veines de la stabilité nationale. En temps de guerre, ces infrastructures ne s'arrêtent pas. Au contraire, elles continuent de fonctionner, même sous la menace d'attaques par missiles et de tensions constantes. L'économie israélienne en temps de guerre dépend d'elles plus que jamais. La résilience de ces systèmes reflète non seulement la force de l'ingénierie, mais aussi la volonté humaine qui les soutient. Cela capture une vérité souvent négligée en dehors des frontières d'Israël.
L'esprit humain derrière le pouvoir et les ports
Ce qui a vraiment touché Amsalem lors de ses visites n'était pas seulement la technologie ou les protocoles de sécurité. C'étaient les gens. Des milliers de travailleurs se présentent chaque jour malgré le fait qu'ils savent que leurs quarts pourraient être interrompus par des sirènes ou pire. Ils travaillent sur les quais, dans les salles de contrôle et près des pipelines d'énergie. Ils continuent d'avancer. Son message pour eux était simple : « Israël vous remercie, vous embrasse et vous aime. » Cela peut sembler émotionnel, mais cela a du sens. L'économie israélienne en temps de guerre n'est pas seulement guidée par la stratégie ou la politique. Elle repose sur l'esprit humain, forgé sous pression, poli par le devoir et animé par un but.
Les marchés faiblissent brièvement, mais la confiance demeure
La légère baisse de 0,71 % de l'indice TA-125 le 26 juin montre une certaine prudence du marché. Mais cela doit être mis en contexte. Au cours du mois dernier, l'indice a augmenté de 9,55 %. Par rapport à l'année dernière, il est en hausse de plus de 50 %. Ce n'est pas un accident. Alors que les investisseurs réagissent aux gros titres et aux mises à jour militaires, ils prennent également en compte la foi à long terme dans la capacité d'Israël à fonctionner sous pression. L'économie israélienne en temps de guerre prouve sa résilience maintes et maintes fois. Derrière cette résilience se trouvent ces mêmes travailleurs, donnant aux investisseurs et aux citoyens des raisons de croire en la continuité au milieu du chaos.
L'économie israélienne boostée grâce au dévouement des travailleurs
Le message de Shabbat d'Amsalem se termine par chaleur et une bénédiction pour tout Israël. Cet esprit de soutien collectif compte. Il rappelle à la nation et au monde que même lorsque des missiles volent, les humains se tiennent droits. L'économie israélienne en temps de guerre n'est pas seulement des données ou des graphiques. C'est la vie. Ce sont les ingénieurs qui réparent les dégâts. Ce sont les conducteurs qui maintiennent les chaînes d'approvisionnement ouvertes. Ce sont des gens qui refusent d'être brisés. Le message d'Amsalem peut être bref, mais son impact est durable. La gratitude, après tout, est le carburant de l'âme et du système.